Čao Laru, c’est un dialogue entre six voix et une ribambelle d’instruments d’ici et d’ailleurs : violon, cavaquinho, violoncelle, pandeiro, guitare, accordéon, saxophone, contrebasse, percussions... Un concert comme un voyage, qui transporte des rythmes du forro brésilien qui font danser, jusqu’aux polyphonies balkaniques qui font pleurer, en passant par les valses musettes qui font tanguer.